Le mal n’existe pas est drame. La beauté et la lenteur sont au rendez-vous; la fable écologique remplace les démêlés sentimentaux. Il n’est pas sûr qu’on y ait gagné quoi que ce soit. Le réalisateur hésite entre le conte et le réalisme, ne choisit pas vraiment entre poésie et suspense. Cela laisse un peu coi.