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La cache est une comédie. Au final, l’émotion nous cueille avec ces dernières images de Michel Blanc (dans le rôle de « père-grand »). Le comédien a tourné ce film il y a pile un an. Soit six mois avant de mourir brutalement, le 3 octobre dernier.

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Ma mère, dieu et Sylvie Vartan est une comédie dramatique. Une histoire vraie qui fait passer du rire aux larmes et touche droit au cœur. Un vrai parcours de combattant porté d’un bout à l’autre par Leïla Bekhti, formidable mère courage que l’on suit pendant cinquante ans, de 30 à 85 ans, et dont l’énergie et l’optimisme renversent des montagnes.

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Magma est un drame. Très maîtrisé, le long-métrage maintient son suspense de thriller de bout en bout, tout en nous plongeant dans l’atmosphère d’une île tiraillée par des tensions sociales.

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Prosper est une comédie, fantastique. Le mélange entre thriller et comédie prend, surtout grâce à cet univers de la sape trop rarement approché par le cinéma, et pas cette double dose de Jean-Pascal Zadi.

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The Alto Knights est un biopic, policier , drame. Un peu de maquillage, une coiffure et une voix différentes, quelques effets spéciaux, et la magie du cinéma opère. Un tour de force technique, qui n’était certes pas indispensable, mais vient renforcer l’intérêt de ce film.

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The Last Showgirl est un drame. Avec ce film parfois un peu redondant, en forme de mise en abîme, Pamela Anderson se révèle à la fois poignante et éblouissante, aux côtés notamment de Jamie Lee Curtis, qui offre d’une performance bluffante.

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Parthenope est un drame, romance. Sorte de fresque immobile, « Parthenope » raconte la vie d’une femme qui a tout pour elle, mais qui prend la liberté de ne pas en faire grand-chose.

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The Insider est un film d’espionnage, thriller. Sur un postulat classique des films d’espionnages – une taupe est à débusquer et il se pourrait bien que ce soit votre femme – le cinéaste tire un récit recentré sur 1h33 et se déroulant sur une semaine rythmée, pas dénué de suspense et encore moins de mordant.

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Reine Mère est un drame. Si les intentions sont louables, on est un peu désarçonné par cet ovni qui oscille constamment entre drame social et comédie fantaisiste, avec des ruptures de ton créant un déséquilibre, pour parler d’identité, d’intégration, de racisme.

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Délocalisés est une comédie. « Délocalisés » est une farce totalement improbable. (…) Mais on se laisse séduire par la tchatche et l’énergie de Redouane Bougheraba.