The Amateur est un drame, thriller. Bourré de rebondissements et d’effets spéciaux à couper le souffle, The Amateur promet de ravir les passionnés d’action.
Zion est un film d’action, thriller. Un long-métrage tendu, original et très réussi. Avec des comédiens qui excellent, ce thriller inflammable s’impose même comme un exercice de style remarquablement soigné, qui ose le lyrisme pour mieux transcender son réalisme abrupt.
Bergers est une comédie dramatique. Une magnifique ode à l’élevage traditionnel. Une adaptation très réussie du roman autobiographique de Mathyas Lefebure, où la mise en scène s’ouvre à la nature, à sa beauté comme à ses dangers, tandis que les personnages se libèrent de leurs entraves.
Mikado est drame sociale. Mikado parle de cet effort, sincère et imparfait, pour offrir le meilleur à ceux qu’on chérit, le portrait d’une famille unie par un amour profond. Une chronique sociale tendre, portée par les formidables Félix Moati, Vimala Pons et Ramzy Bedia.
Lads est un drame. Ce film est le portrait sensible d’un gamin rebelle et déterminé en même temps qu’une plongée violente et passionnante dans le monde des chevaux. Le film vaut par son réalisme, sa justesse et l’interprétation formidable de tous les comédiens.
Natacha (presque) hôtesse de l’air est une joyeuse comédie. On ne s’ennuie pas une seconde dans cette comédie trépidante et pleine de second degré, portée par les excellents Camille Lou et Vincent Dedienne et par des seconds rôles réjouissants (Didier Bourdon, Elsa Zylberstein, Isabelle Adjani, Baptiste Lecaplain, Fabrice Luchini…).
Novocaine est un film d’action, thriller. Malgré quelques scènes horribles, même si l’effroi se mêle toujours d’humour, « Novocaine » se présente aussi comme une comédie. Et c’est bien l’histoire d’amour entre Nathan et Sherry qui constitue le déclencheur de l’histoire, certes abracadabrante, mais toujours plaisante à suivre et aux multiples rebondissements.
100 millions est une comédie. Pas originaux, non plus, les personnages dont les caricatures sont poussées à l’extrême comme les enfants du couple de nouveaux riches, forcément aux antipodes l’un de l’autre (la fille est baba cool, le fils patron de start-up). Reste le plaisir de voir sur grand écran s’ébrouer deux poids lourds de la comédie française.
Lire Lolita à Téhéran est un drame. Le film montre la brutalité du pouvoir islamiste tout en offrant de beaux moments d’une solidarité entre ces femmes. Les actrices Mina Kavani, Zar Amir Ebrahimi et Raha Rahbari, toutes exilées, sont très justes, emportées par Golshifteh Farahani, bouleversante.