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Reine Mère est un drame. Si les intentions sont louables, on est un peu désarçonné par cet ovni qui oscille constamment entre drame social et comédie fantaisiste, avec des ruptures de ton créant un déséquilibre, pour parler d’identité, d’intégration, de racisme.

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Délocalisés est une comédie. « Délocalisés » est une farce totalement improbable. (…) Mais on se laisse séduire par la tchatche et l’énergie de Redouane Bougheraba.

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Dans la cuisine des Nguyen est une comédie musicale. Une comédie pop aux dialogues savoureux, tendre et piquante à la fois, où l’on s’attache à son anti-héroïne bien incarnée. Une jolie surprise !

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Le secret de Khéops est un film d’aventure. Le lien entre l’ère des pharaons et notre monde contemporain est en effet plutôt bien exploité, avec une volonté de coller, autant que possible, à la réalité historique – Fabrice Luchini distillant même quelques anecdotes savoureuses sur l’Égypte ancienne.

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Mickey 17 un film d’action, comédie, science fiction. On attendait beaucoup de Mickey 17, peut-être trop que ce que Bong Joon Ho pouvait nous donner. Et pourtant, la générosité de l’homme est une nouvelle fois flagrante au sein d’un film qui convoque tellement de belles choses et, surtout, foncièrement drôle.

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Le Système Victoria est un drame. Les comédiens (Damien Bonnard et Jeanne Balibar) sont convaincants, les rouages du scénario s’imbriquent avec fluidité, la sensualité s’impose, malgré une mise en place d’une froideur au diapason d’un script cérébral et distancié.

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Yokai : le monde des esprits est une comédie dramatique, fantastique. Si les deux principaux comédiens japonais du film, Masaaki Sakai (Yuzo) et Yutaka Takenouchi (Hayato) livrent des prestations formidables, la partition de Catherine Deneuve illumine « Yokai ».

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Cronos est un film épouvante-horreur. Sans crier au chef-d’œuvre méconnu, Cronos est une curiosité, digne d’intérêt pour quiconque s’intéresse aux influences de del Toro.

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Bonjour L’asile est une comédie burlesque. Ce film aurait pu être une exploration des contradictions de notre époque mais se complaît dans un discours artificiel, plus fatigant qu’éclairant.

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La vie devant moi est un drame, historique. À partir d’un épisode maintes fois abordé au cinéma et ailleurs, Nils Tavernier trouve sa singularité dans un huis clos assumé et asphyxiant. Mais, j’aurais aimé une mise en scène à la hauteur de cette histoire absolument sidérante.