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Pricilla est un biopic. D’un point de vue formel, on est bien dans un film de Sofia Coppola, avec une ambiance vaporeuse qui souligne l’ennui de l’épouse souvent laissée seule à Graceland. Sur le fond, le film laisse une impression mitigée.
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Le plongeur est un drame. Le réalisateur lorgne du côté de Martin Scorsese. S’il ne manque pas de talent, son récit sur le milieu de la restauration et la dépendance au jeu se disperse et peine à embrasser les sujets qu’il convoque malgré sa durée.
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Iris et les hommes est comédie. Le film, qui avait plutôt bien commencé, s’essouffle rapidement, dès lors qu’il se met à suivre son héroïne au fil de ses rendez-vous extraconjugaux.
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5 hectares est une comédie. Un road movie campagnard poussif, sur la mise au vert d’un citadin hors sol.
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Aquaman et le royaume perduest un film d’action, aventure, fantastique. Ce deuxième volet consacré au plus marin des super-héros souffre d’une histoire trop simpliste, d’un humour très discutable et d’effets spéciaux envahissants.
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La fille de son père est une comédie dramatique. Très jolie chronique d’une famille hors-norme dans sa première partie, « La fille de son père » dérive de façon un peu bancale dans la seconde vers la recherche de cette maman disparue.
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*Frémont est un drame. Un film qui propose une vision originale du destin d’une réfugiée grâce à un humour subtil et décalé.
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Soudain seul est un drame, romance. On retient de Soudain seuls des paysages époustouflants et des ciels miraculeux, une scène d’une violence inouïe avec des manchots et une fin d’une douceur folle. Mais pendant 1h40, on souffre avec ces personnages, qui luttent contre la faim, le froid et les rancœurs de la vie conjugale.
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Noël joyeux est une mauvaise comédie. On était prêt à rire… Mais Noël joyeux se révèle laborieux, triste et de mauvais goût.
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L’arche de Noé est une comédie dramatique. Même la grande Valérie Lemercier (en patronne bipolaire de l’association), le talentueux Finnegan Oldfield et la singulière Elsa Guedj (révélée par la série Drôle) finissent, eux aussi, par s’y perdre.
