Archives de catégorie : 2 Étoiles
Yurt
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Yurt est un drame. Malgré quelques scènes fortes dénonçant la brutalité des punitions corporelles infligées aux élèves, l’ensemble est caractérisé par une esthétique lisse (alternation pittoresque entre noir et blanc et couleur) qui dessert son sujet et banalise le film.
Drive-Away Dolls
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Drive-Away Dolls est une mauvaise comédie. Sans queue ni tête, Drive-Away Dolls croule sous les références, voire l’autoréférence, en livrant une caricature défraîchie des comédies comptant déjà parmi les moins inspirées des frères Coen.
Dans la peau de Blanche Houellebecq
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Dans la peau de Blanche Houellebecq est une comédie. Attention, comédie complètement absurde.
Comme un fils
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Comme un fils est un drame. Un enseignant solitaire prend sous son aile un jeune Rom exploité par son oncle. Une rencontre émouvante filmée à la manière des frères Dardenne, et marquée par le jeu puissant de Vincent Lindon. Mais reste malgré fade.
Madame de Sévigné
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Madame de Sévigné est un drame historique. La mise en scène est élégante, mais lisse : on aurait aimé davantage d’aspérités pour creuser la personnalité ambiguë de l’écrivaine, interprétée avec nuance par Karin Viard, toujours stupéfiante de vérité.
L’empire
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L’empire est une très mauvaise comédie. J’ai rarement vu un film aussi nul !
Sans jamais nous connaître
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Sans jamais nous connaître est un drame romantique. Un étrange récit qui mêle trépassés et vivants un peu ennuyeux.
La bête
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La bête est un drame. Si Léa Seydoux tire son épingle du jeu, le long-métrage manque sévèrement de rythme et d’intérêt.
Zone d’intérêt
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Zone d’intérêt est un drame historique. Avec ses plans fixes qui enregistrent les scènes bucoliques – repas opulents, baignades enjouées, promenades au potager –, Glazer, entend probablement nous entretenir de l’effroyable banalité du mal, mais il nous renseigne surtout sur ses ambitions de petit maître de l’image, obsédé par son dispositif implacable.