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Le mal n’existe pas

Bande-annonce Le Mal n'existe pas
10 avril 2024 en salle | 1h 46min | Drame

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Titre original Aku wa sonzai shinai

Rating: ★★½☆☆

Le mal n’existe pas est drame. La beauté et la lenteur sont au rendez-vous; la fable écologique remplace les démêlés sentimentaux. Il n’est pas sûr qu’on y ait gagné quoi que ce soit. Le réalisateur hésite entre le conte et le réalisme, ne choisit pas vraiment entre poésie et suspense. Cela laisse un peu coi.

Yurt

Bande-annonce Yurt
3 avril 2024 en salle | 1h 56min | Drame

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Rating: ★★☆☆☆

Yurt est un drame. Malgré quelques scènes fortes dénonçant la brutalité des punitions corporelles infligées aux élèves, l’ensemble est caractérisé par une esthétique lisse (alternation pittoresque entre noir et blanc et couleur) qui dessert son sujet et banalise le film.

Drive-Away Dolls

Bande-annonce Drive-Away Dolls

Rating: ★½☆☆☆

Drive-Away Dolls est une mauvaise comédie. Sans queue ni tête, Drive-Away Dolls croule sous les références, voire l’autoréférence, en livrant une caricature défraîchie des comédies comptant déjà parmi les moins inspirées des frères Coen.

 

Comme un fils

Bande-annonce Comme un fils

Rating: ★★½☆☆

Comme un fils est un  drame. Un enseignant solitaire prend sous son aile un jeune Rom exploité par son oncle. Une rencontre émouvante filmée à la manière des frères Dardenne, et marquée par le jeu puissant de Vincent Lindon. Mais reste malgré fade.

Madame de Sévigné

Bande-annonce Madame de Sévigné

Rating: ★★½☆☆

Madame de Sévigné est un drame historique. La mise en scène est élégante, mais lisse : on aurait aimé davantage d’aspérités pour creuser la personnalité ambiguë de l’écrivaine, interprétée avec nuance par Karin Viard, toujours stupéfiante de vérité.

 

La bête

Bande-annonce La Bête

Rating: ★★☆☆☆

La bête est un drame. Si Léa Seydoux tire son épingle du jeu, le long-métrage manque sévèrement de rythme et d’intérêt.

Zone d’intérêt

Bande-annonce La Zone d'intérêt

Rating: ★★☆☆☆

Zone d’intérêt est un drame historique. Avec ses plans fixes qui enregistrent les scènes bucoliques – repas opulents, baignades enjouées, promenades au potager –, Glazer, entend probablement nous entretenir de l’effroyable banalité du mal, mais il nous renseigne surtout sur ses ambitions de petit maître de l’image, obsédé par son dispositif implacable.