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Mickey 17 un film d’action, comédie, science fiction. On attendait beaucoup de Mickey 17, peut-être trop que ce que Bong Joon Ho pouvait nous donner. Et pourtant, la générosité de l’homme est une nouvelle fois flagrante au sein d’un film qui convoque tellement de belles choses et, surtout, foncièrement drôle.

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Black Dog est un drame. Vu les critiques, j’y suis allé mais j’ai vraiment été déçu. Je me suis ennuyé…

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Le Système Victoria est un drame. Les comédiens (Damien Bonnard et Jeanne Balibar) sont convaincants, les rouages du scénario s’imbriquent avec fluidité, la sensualité s’impose, malgré une mise en place d’une froideur au diapason d’un script cérébral et distancié.

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Yokai : le monde des esprits est une comédie dramatique, fantastique. Si les deux principaux comédiens japonais du film, Masaaki Sakai (Yuzo) et Yutaka Takenouchi (Hayato) livrent des prestations formidables, la partition de Catherine Deneuve illumine « Yokai ».

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A Réal Pain est une comédie dramatique. La structure cyclique du film, transitant de l’intime à l’horreur avec un grand H, accouche en définitive d’un banal « la vie continue ».

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Cronos est un film épouvante-horreur. Sans crier au chef-d’œuvre méconnu, Cronos est une curiosité, digne d’intérêt pour quiconque s’intéresse aux influences de del Toro.

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Bonjour L’asile est une comédie burlesque. Ce film aurait pu être une exploration des contradictions de notre époque mais se complaît dans un discours artificiel, plus fatigant qu’éclairant.

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La vie devant moi est un drame, historique. À partir d’un épisode maintes fois abordé au cinéma et ailleurs, Nils Tavernier trouve sa singularité dans un huis clos assumé et asphyxiant. Mais, j’aurais aimé une mise en scène à la hauteur de cette histoire absolument sidérante.

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A bicyclette est une comédie dramatique. Au fil des rencontres un peu trop arrangées et des discussions improvisées (et alcoolisées) sur l’amitié et la paternité, un drôle de film prend vie, entre émotion et roublardise.

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La fabrique du mensonge est un biopic, drame, historique. Transformer le mensonge en vérité aura été le travail de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande d’Hitler. C’est sur ce travail qui précipita l’Allemagne dans l’abîme que revient ce film âpre qui mêle habilement forme fictionnelle et images d’archives. Ce document devrait être vu par tout le monde !