Here – les plus belles années est un drame, fantastique. le réalisateur de Retour vers le futur et de Forrest Gump, propose un dispositif original pour livrer une réflexion hélas peu convaincante sur le temps qui passe.
Trois amies est une comédie dramatique, romance. Un film élégant et très bien joué, qui montre qu’en amour, on est rarement synchrones, que les sentiments vont et viennent et que chacun peut inventer ses règles du jeu. Un film subtil.
A toute allure est une comédie. Certaines scènes ont un côté un peu artificiel avec leurs personnages en mode ping-pong verbal. Mais globalement, on s’amuse bien et les acteurs – Pio Marmaï, Eye Haïdara et José Garcia, mais aussi Victor Pontecorvo, très drôle – ne ménagent pas leurs efforts.
The substance est un drame, épouvante-horreur. Avec ce film très drôle, jouissif et à la réalisation léchée, Coralie Fargeat porte aussi un discours percutant sur la quête de l’éternelle jeunesse. On adore sa folie et celle de Demi Moore, qui a accepté ce rôle avec panache.
L’affaire Nevenka est un biopic, drame. La douleur de la victime se montre dans ses nuances les plus vives, lente destruction psychologique doublée d’un anéantissement physique, par un homme de pouvoir, puissant, manipulateur, asservissant les institutions pour imposer son crime. Récit d’une première femme qui parvient à faire traduire en justice un homme politique influent et populaire pour harcèlement sexuel au travail.L’AFFAIRE NEVENKA est un film de résistance nécessaire.
Louise Violet est un drame historique. Une ode appliquée à l’école de la République, et un récit de facture très classique, porté par des interprètes attachants, mais qui manque de corps, d’aspérités et d’émotion.
Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau est un film d’animation. Je n’ai pas accroché, malgré les époustouflantes qualités d’animation. Absence d’histoire ou alors il fallait vraiment chercher, je ne sais quoi ? Je me suis ennuyé
Juré n°2 est un drame – thriller. À l’âge vénérable de 94 ans, Clint Eastwood met en scène un nouveau film, son quarantième, où il interroge la fragilité de la justice et le redoutable « concept » de présomption de culpabilité. Même si elle n’atteint pas le niveau de ses plus belles réussites, cette fiction confirme la stupéfiante créativité de son auteur.
Anora est une comédie dramatique. Fable new-yorkaise et vrai conte cruel sur les travailleuses du sexe, « Anora » est un beau film tissé d’humour et de mélancolie, lesté d’une Palme d’or surdimensionnée.