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Le voyage en pyjama est une comédie. Servie par un casting impressionnant, la déambulation est plaisante. Mais aussi l’écho ronronnant d’un cinéma du temps passé.

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Bonnard, Pierre et Marthe est biopic, historique, romance. Le film pose la question de l’amour sur la durée, de l’exclusivité et de la jalousie, des rancœurs et des trahisons. Mais en brossant le portrait d’une femme vite amère, en racontant une romance finalement assez banale et triste, il n’emporte pas totalement.

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Un silence est un drame. Ce récit bouscule, met à mal nos préjugés en exposant de la manière la plus neutre possible combien il est difficile de faire les bons choix quand l’horreur s’est installée dans le cadre familial et reste parfois tapi dans l’ombre des sous-dossiers de l’ordinateur personnel. un film pesant du début à la fin.

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Making of est une comédie. Ce long-métrage qui réserve en outre quelques séquences ultra-romantiques, on rit énormément des mésaventures du héros et des situations impossibles qu’il doit affronter. Quant à Cohen, flirtant avec l’autodérision, réussissant l’exploit d’interpréter – bien – un comédien qui ne sait pas jouer, il confirme décidément un joli talent.

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Pricilla est un biopic. D’un point de vue formel, on est bien dans un film de Sofia Coppola, avec une ambiance vaporeuse qui souligne l’ennui de l’épouse souvent laissée seule à Graceland. Sur le fond, le film laisse une impression mitigée.

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Le plongeur est un drame. Le réalisateur lorgne du côté de Martin Scorsese. S’il ne manque pas de talent, son récit sur le milieu de la restauration et la dépendance au jeu se disperse et peine à embrasser les sujets qu’il convoque malgré sa durée.

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Moi capitaine est un drame captivant et édifiant. Dans ce film, Garrone s’attaque à la grande question contemporaine de l’immigration. Le résultat est un film puissant qui tient autant du conte moderne que du document. Une odyssée puissante.

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Iris et les hommes est comédie. Le film, qui avait plutôt bien commencé, s’essouffle rapidement, dès lors qu’il se met à suivre son héroïne au fil de ses rendez-vous extraconjugaux.

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Les colons est un drame. Ce film raconte de façon édifiante l’histoire de la construction d’une nation. Sur fond de paysages sauvages filmés en panoramique, la violence crue et obscène de certains plans secoue. Comme celui où MacLennan entasse des cadavres d’Indiens comme si c’était du bétail.