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Les vedettes est une comédie. Les deux trublions du Palmashow sont de retour dans une comédie qui transpire l’amour pour ses personnages de paumés et utilise avec malice son décor périurbain. Certaines répliques font vraiment rire, mais la mise en scène manque d’inventivité pour soutenir le rythme de la comédie.
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Super-Héros malgré lui est une bonne comédie. Une fois qu’on est entré dans le délire, on n’en sort plus, jusqu’aux gags pyrotechniques -vous verrez pourquoi l’adjectif est un peu déplacé- très osés mais carrément hilarants du bouquet final. Une parodie bourrée de clins d’œil à Marvel et DC Comics.
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Une jeune fille qui va bien est un drame historique. Dans son premier long-métrage derrière la caméra, l’actrice propose un regard neuf et déchirant sur l’Occupation, à travers le portrait d’une amoureuse de la vie de 19 ans, juive. Une Jeune fille qui va bien mélange des traces de l’autobiographie de Sandrine Kiberlain (les cours d’art dramatique) et de la biographie réinventée de ses ascendants (l’Occupation) : une réussite superbe et délicate, un film qui va bien.
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Les jeunes amants est une comédie dramatique. Fanny Ardant et un Melvil Poupaud remarquables dans une histoire passionnelle hors norme entre une septuagénaire et un homme bien plus jeune. Délicat, émouvant et sans cliché.
