L’ombre de Staline est un biopic. Inspiré d’une histoire vraie, ce film est ponctué de séquences terrifiantes, mais aussi une réflexion sur la propagande et le totalitarisme. Entre thriller, film d’espionnage et témoignage mémoriel, cette remarquable réalisation de la chevronnée Agnieszka Holland interroge la manière dont on forge l’histoire. Un film qu’on ne peut pas oublier.

La bonne épouse est une comédie. En force, un trio d’actrices déchaînées : Juliette Binoche en veuve joyeuse ; Yolande Moreau en vieille fille sentimentale ; Noémie Lvovsky en bonne sœur qui dévoile un esprit bien plus libre qu’on ne croie sous la coiffe. Entre légèreté et gravité, le film aborde frontalement des sujets comme l’identité ou la sexualité, avec un petit vent de folie cathartique.

Une sirène à Paris est un conte poétique à l’imaginaire. Une fantaisie que l’on trouvera, selon son goût pour la poésie visuelle, bricolée, charmante ou un peu embarrassante…

La communion est un drame. C’est par sa thématique centrale que ce film touche au but : une foi qui résiste à tout même au mensonge, à travers ce jeune criminel amené à écouter les péchés des autres et à les pardonner.

Filles de joie est un film dramatique. Le sujet est suffisamment fort et intéressant… Trois belles actrices illuminent ce film qui dépeint le quotidien, entre peines, joies et drames, de femmes contraintes de se prostituer dans une maison close en Belgique.  Cependant je ne suis pas fan de ce que j’ai vu !