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1917 film historique de guerre. Deux jeunes visages explosent littéralement à l’écran dans cette odyssée de vie et de mort au suspense haletant : Dean-Charles Chapman et George MacKay. On ira voir – et vivre – 1917 autant pour eux que pour le tour de force technique d’un film qui mobilise toute la puissance du cinéma et de ses artifices au service de son incroyable défi.
Bad boys for liffe est un film d’action. Dommage que le scénario poussif ne suive pas complètement sinon fusillades à tout va et quelques traits d’humour
K contraire est un drame. À défaut d’originalité, ce premier film à la mise en scène nerveuse, écrit par les deux leaders du groupe de hip-hop La Rumeur, nous entraîne sur les pas d’Ulysse dans une réalité où l’enfermement vécu est finalement pire que celui de la prison.
Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part est un mélodrame. Pas aussi bouleversante que prévu, cette histoire de famille, avec ses repas, ses apartés entre frères et sœurs et son drame qui change tout, mérite d’être vue pour son acteur principal.
Scandale est un drame et un biopic. À trop se focaliser sur le traitement factuel de la phallocratie, le film dépolitise quelque peu son propos et peine à l’inscrire dans une économie plus globale de la domination, dont l’exploitation et la normalisation des corps sont les symptômes les plus visibles…
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Un vrai bonhomme est une comédie dramatique. Un scénario parfois prévisible, mais ce film se laisse regarder comme un joli drame sur la résilience de la perte d’un proche, l’émancipation et le fait de devenir vraiment quelqu’un et pas l’image d’un autre.
Swallow est un drame. Ce thriller impressionne d’abord par son ambiance étrange, une poignée de scènes déstabilisantes, et une Haley Bennett fantastique. Mais si le portrait de femme est fin et maîtrisé, il pousse le film dans une direction inattendue, plus terre-à-terre, et loin des beaux troubles du début.
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Selfie est une comédie. Un mauvais selfie !
Sol est une comédie familiale. Le film se révèle attendrissant et juste où Chantal Lauby excellente qui émeut beaucoup dans ce rôle.
Les enfants du temps est un film d’animation. Techniquement, narrativement, visuellement, c’est irréprochable. Le film galope à une vitesse folle, nous faisant traverser un Tokyo rarement vu (…). Le seul souci, c’est que l’on n’arrive pas à être ému par cette histoire d’amour et de magie, qui ne parvient pas très bien à tourner ses éléments les plus lacrymaux.
