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Martin Eden est un drame. Tragédie de l’hypocrisie d’ici-bas, portée par une nostalgie universelle, ce film s’inscrit dans la lignée du cinéma italien qui marie satire sociale et passions individuelles. Une belle adaptation dominée par Luca Marinelli.
Terminator : Dark fate est un film d’action. Sans rien révolutionner, ce 6e Terminator déploie assez d’énergie et de respect du spectateur pour remplir sa mission. Une course poursuite Interminator… amusant !
Hors normes est une comédie dramatique. Un film cri du cœur, dépeignant le quotidien de deux associations qui prennent en charge, à Paris et en banlieue, des cas complexes d’autisme, pour lesquels il n’existe pas de solution. Et si Reda Kateb est parfait, comme d’habitude, Vincent Cassel, dans un rôle empathique à contre-emploi, nous éblouit totalement. Ce film apporte par le cinéma, un document qui traite ce problème social méconnu du publique.
La vérité si je mens : les débuts est une comédie. J’y suis allé par curiosité et pour se divertir en toute légèreté. Hélas, ce voyage dans le temps, qui nous ramène à l’adolescence des héros. Hélas, trop de microgags rebattus et un scénario qui manque d’épaisseur.
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Papicha est un drame.Le film est un vibrant hommage à toutes ces femmes algériennes qui ont résisté aux barbus, à toutes celles qui, jour après jour, malgré les barrages et l’odeur de la mort, ont continué de travailler, d’étudier, de sortir.
L’angle mort est une intrigue. À travers l’histoire d’un homme qui détient le pouvoir de se rendre invisible, les réalisateurs introduisent une dose de fantastique dans le réel pour mieux démythifier la figure du superhéros mais en dépit d’un traitement soigné, le film a du mal à aller au-delà de son idée de départ.
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Maléfique : ce pouvoir du mal est un film fantastique et d’aventure. Honorable et épique, ce film séquelle ravit davantage par son duel d’actrices que par ses faiblesses scénaristiques. Un film féerique qui va trouver son public.
Joker est un drame. Grâce à une mise en scène étonnante et une performance ahurissante et démente de Joaquin Phoenix, ce film s’impose comme un long-métrage unique. Un film qui se veut réaliste sans jamais prendre à parti le spectateur, le laissant simplement témoin de la naissance d’un mal profond tapi dans l’ombre et nourri depuis longtemps par une société malade. Joker peut avoir un grand sourire car il sort gagnant de performance cinématographique !
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Atlantique est un drame. Les belles idées de scénario pullulent dans cette fable politique qui oscille entre réalisme et fantastique, et donne à voir les innombrables frontières géographiques, sociales, de genre… Dommage que la mise en scène soit alourdie par des plans répétitifs sur la mer, la nuit et la pleine lune.
Chambre 212 est une comédie dramatique. À la fois pop, vaudevillesque, sensuel et existentialiste, ce film en agacera certains (dont moi) mais en séduira beaucoup également.
