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L’île aux chiens est un très bon film d’animation. Ce film est un régal visuel de tous les instants. On pourrait se perdre à l’infini dans ce Japon réinventé qui fourmille de détails, d’idées de mise en scène, d’hommages discrets ou tonitruants à la culture nippone – notre préféré restant la mise en scène de la légende façon théâtre Kabuki. C’est une une ode humaniste, touchant, drôle et poétique.
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Du soleil dans mes yeux est un drame. Un film qui ne parvient jamais à donner de l’ampleur au récit ou de la consistance à ses personnages. Difficile d’avoir de l’intérêt pour cette histoire trop plate et sans mouvement…
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Luna est une comédie dramatique. Scénario solide, mise en scène maîtrisée pour ce film tendu sur des thèmes forts comme la culpabilité et le harcèlement. Une vision forte et sensible d’une jeunesse qu’un rien suffirait à faire basculer…Porté avec intensité par Laëtitia Clément belle, prometteuse et Rod Paradot qui confirme. C’est poignant !
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Don’t worry, he won’t get far on foot est un biopic. La narration kaléidoscopique entremêler les périodes, alternant entre scènes de beuverie et scènes d’hôpital tout en incrustant parfois la reproduction plein écran d’un dessin authentique de Callahan. J’ai bien aimé la force de cette homme comme quoi les gens peuvent changer en bien !
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Dans la brume est une mauvaise science fiction. Rien ne va dans ce film, scénario, dialogue et intrigue, sans aucun suspense… bref c’est mauvais !
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La mort de Staline est une comédie dramatique. Au mieux une farce sur fond politicien avec quelques gags bien sentis et une touche d’humour noir, mais assurément pas la satire redoutable que j’aurais pu espérer.
Red Sparrow est un film d’espionnage. L’histoire de cette ballerine russe devenue une sorte de Mata Hari moderne, dont la mission est de manipuler les « sources » ennemies, est truffée de clichés, et nettement trop longue, malgré quelques péripéties attendues.
Carnivores est un thriller. Le récit bifurque résolument vers le thriller psychologique, lorsque Mona comprendra qu’elle peut combler le vide laissé par les errements de sa sœur au fil d’une prévisible mais glaçante inversion des rôles. Un thriller tendu qui décortique les ressorts de l’envie et de la jalousie. Le jeu de Zita Hanrot et Leïla Bekhti est étonnant.
Ready player one est une science fiction. En matière d’aventures, de pure mise en scène, de va-et-vient entre monde réel et monde virtuel, ce film dépote. En termes d’écriture, d’incarnation, d’émotions, c’est une autre histoire.
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The disaster artist est une comédie dramatique. Plus qu’un biopic grinçant, ce film est une comédie toute aussi intelligente qu’efficace dédiée à l’un des mauvais films les plus connus de l’histoire. C’est une ode à l’amitié et une histoire incroyable ….
