La la land est une très belle comédie musicale romantique. Un grand moment de cinéma doublé d’une magnifique histoire d’amour. Une petite pépite qui ne propage que bonheur, joie et bonne humeur où je suis ressorti avec une folle envie de danser, de chanter, des airs plein la tête et la jambe légère. Ryan Gosling et Emma Stone chantent et dansent avec un talent euphorisant. J’en ai pris plein les yeux !

L’ascension est une très belle comédie d’aventure et sentimentale. Cette romance qui mélange habilement humour et grande aventure donne des frissons, des vertiges et du bonheur. Ce film réjouissant réserve son lot de situations cocasses et de répliques bien senties. De la bonne humeur qui monte du début jusqu’au sommet.

Entre chronique de moeurs et polar, le film ne trouve jamais son équilibre. Le film barbote, se disperse et s’étire et plouf… le sujet pourrait être captivant, mais le tout est truffé d’incohérences.

Corniche Kennedy

Un sac de billes est un drame sur la France occupé des années 40. Un récit à la fois tendre, malicieux et bouleversant qui montre le portrait de la France collabo plus actuel que jamais. Ce film reste une aventure chaleureuse, placée sous le signe de la solidarité de l’unité familiale.

Live by nigth est un film de gangster. Classique mais efficace, avec son lot de trahisons, de règlements de compte et de vengeances. Ce thriller à le gout du déjà vu, bien que réussi, on se laisse happer avec plaisir par cette histoire de mafieux dommage que le rythme baisse à mi chemin.

The birth of a Nation est un drame sur la ségrégation esclavagiste des années 1830. Entre réflexion historique et fougue ardente, un film choc qui rappelle que l’Amérique s’est construite aussi avec le sang et la sueur des esclaves. Un récit classique, édifiant parfois insoutenable qui montre comment la violence sème peu à peu la révolte.

La mécanique de l’ombre est un film d’espionnage politique. On souffre avec François Cluzet, parfait en victime anonyme d’un milieu sans pitié, mais on a du mal à croire à cette spirale infernale dans laquelle se retrouve ce Monsieur Tout-le-Monde qui n’a rien demandé mais  le dénouement n’est pas à la hauteur de l’attente suscitée.

Dalida est un biopic et un drame. Un biopic aussi flamboyant que triste sur la vie chaotique de la chanteuse. Une reconstitution soignée, le relatif plaisir des tubes qui jalonnent le film, avec un casting peaufiné. Jean- Paul Rouve, Nicolas Duvauchelle, Niels Schneider, Ricardo Scamarcio, et enfin Sveva Alviti dans la peau de la chanteuse, sont assez remarquables. Dalida a le double mérite de divertir et de toucher les coeurs. Merci et Bravo.